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N-Z Tour 2011
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13 février 2011

Dedicaces

P1000238P1000217Des petites dedicaces pour nos regrettes petits francais, pour deux en particuliers.

Une truite fario de 5 metres de hauteur et de delicieux hamburgers aux noms charmants...

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Commentaires
P
sympa : Le fameux cochon dragon d'eau douce née d'une soirée forte en émission avec thib et delf bubble gum et saucisse sèche maison,kil de rouge et bonne humeur le pied,mais il manquai quand même un compère,tu nous manque,bien que je m'interdise de te le dire ,trop tard!!!je t'embrasse à bientôt . PACO
P
salut mon ami j'espère que tout vas bien ,pour ce qui nous concerne ici le printemps pointe son nez et ça fait du bien !!! Mon projet de snack mobile prend forme ouverture début juin !! d'ailleurs à ce sujet entraine toi à dessiner un dragon serpent car tu en auras un à faire de 10 mètre de long avec tout plein de mise en valeur , je ne conçoit pas une autre personne pour la déco c'est comme ça et pas autrement !!! peut être aura tu à faire un animal moins répandu mais tout aussi sympa sympa :
P
Ave les agités !! Putain Thib tu m'fais planer mais dit moi tu lit dans mes pensées ou sommes nous vraiment de cette race que la crasse n'aveugle pas,que la menace n'effraye pas,n'étant pas dépressif, je te comprend,je nous comprend,je taille ma route,mais rien de mieux,que de le faire,même sans bouger,entouré de pensées philosophes,d'homme libres,d'êtres bons...D'amis!!
T
PS : lors de ma rédaction, je me suis inspiré en musique, sur un fond d'Ez3kiel (Leopoldine) qui tournait en boucle. Je t'avouerais qu'à mes yeux et mes oreilles, la relecture de cet article avec cette mélodie en fond, représente un mélange tonitruant, à ne pas laisser entre les lignes d'un dépressif, je me comprend.<br /> RePS : Je t'aime, ne l'oublies pas :]
T
Puisqu'il est venu le temps des dédicaces, je vais également t'en faire une, à ma façon. Aucun réel rapport avec toi, juste une envie d'écrire, de faire parler mon esprit critique et rédactionnel. Sûrement un peu long, parfois synonyme de la niaiserie la plus totale, du Moi en puissance. J'écris beaucoup en ce moment, de tout, de rien, celui là est tout frais de l'après-midi, je ne sais réellement pourquoi je te le poste, mais que diable, il faut suivre ses envies comme on dit! Bonne lecture (<3)<br /> <br /> Une pensée dépréciative de plus, inutile dans ce Monde d’inconscients capitalisés<br /> <br /> « Ce petit bonhomme né dans un confort des plus total, dispose comme beaucoup d’autres d’un physique à toute épreuve, mais d’un moral conditionné qui pleure. »<br /> <br /> La vie n’est pas une science exacte. Elle vous entraîne incessamment dans ses tourments, qu’ils soient luisants ou obscurs. Chacun devrait être libre de la vivre comme il l’entend, mais l’homme, égoïste de nature, a préféré l’isoler en l’enfermant dans une prison à jugement contraire, recherchant misérablement la sécurité. Les sociétés naquirent, perdurent et perdureront, mais elles se sont trompé de route depuis leurs racines, pour foncer tête baissée dans ce que l’on pourrait aujourd’hui qualifier d’état divisionnaire. La société de consommation offre toutes les illusions que les hommes n’ont cessé d’imaginer au fil des âges, à condition bien sûr d’être né en terre propice à cet effet, d’y adhérer et de suivre le mouvement comme des pions. La vie brille pour les possesseurs de grandes fortunes, mais ces dernières sont malsaines, et dévorent en chaque instant les âmes de leurs misérables inventeurs. L’Homo economicus se sent alors pousser des ailes, et n’hésitera plus à tout faire pour renflouer un peu plus son capital, lésant ainsi ses congénères, et oubliant le sens même de la vie.<br /> Les sentiments se perdent aussi vite que passe le temps, les valeurs ne cessent d’être remaniées, par des hommes se considérant comme les maîtres du Monde, refaçonnées ainsi de façon bénéfique pour une poignée de crétins, qui s’imaginent que leur rôle est indispensable au bon état de santé de la planète et de ses destructeurs. <br /> La révolte est en marche depuis bien longtemps, mais à chaque nouvelle innovation humanitaire, l’être économique s’empresse de déposer ses brevets tyranniques, pour s’enrichir, encore et toujours. Certains ignares vous répondront en tant qu’argument que c’est ça, la « Loi du marché » ; d’autres que le marché n’était, dès son plus jeune âge, autre qu’un lieu de rencontre et d’échanges de bons procédés, une sorte d’espace communautaire. Comment décrypter le vrai du faux, dans cette vie où tous les jours on vous explique qu’on peut vivre avec le SMIC, en vous bourrant le chou à grands coups de propagande multi-nationaliste, en négligeant l’enseignement des jeunes, en oubliant la misère d’une majorité qui pleure, en esquivant les cris de nos frères qui se meurent…<br /> <br /> « La vie nous offre le pouvoir d’être et de penser, pourquoi l’avoir exploité à des fins purement personnelles, en sachant pertinemment que son principe fondateur est basé sur le partage ? »<br /> <br /> Nous sommes des animaux messieurs-dames ! Non, nous ne valons pas mieux que le poulet élevé en batterie, dans ses 400cm² d’espace vital, qui se retrouve chaque jour dans notre assiette accompagné de ses antibiotiques en tous genres, ni que cet insecte que nous écrasons sans aucun remord puisqu’il effraie, ou puisque ce ne sont pas nos affaires. Nous ne sommes pas les seuls êtres à penser, mais nous sommes les seuls à être conscient des erreurs de notre espèce, oui, nous le savons, oui, nous y pensons, oui, nous en parlons, mais nous n’agissons pas. Pourquoi ? Parce que les dirigeants du Monde entier nous ont imposé d’autres finalités. J’entend bien sûr par là que la force du vivant est celle d’un groupe uni, d’ailleurs, qui n’a jamais utopiquement rêvé de l’union des peuples ? Le problème, c’est que l’homme en a décidé autrement, et malgré le fait que certains ressentent encore cette envie de faire bouger les choses, l’union tant attendue n’a pas lieu. Nous confondons sans cesse solidaire et solitaire, moi le premier.<br /> Ce qui me fait peur en soi, c’est que les points de vue divergent beaucoup trop, la peur divise, les innovations techniques poussent à la colonisation des territoires ruraux, l’espoir se meurt, les hommes, si censés et honnêtes soient-ils, commencent de plus en plus fréquemment à se marcher dessus les uns les autres. Les plus forts psychologiquement en sortiront vivants extérieurement, mais morts à l’intérieur, quand les plus faibles se tueront à petit feu, au sens propre comme au figuré.<br /> <br /> « La vérité est universelle, et pourtant, personne ne la détient vraiment. »<br /> <br /> Personne ne détient la vérité, et je n’excepte pas à la règle, mes phrasés semblent souvent plus insipides les uns que les autres. La vérité n’est et n’a jamais été détenue par un homme, c’est l’humanité qui en a la clé. Il convient alors de rassembler les quelques milliards d’individus dont nous faisons parti, pour construire un Monde nouveau, aucun avis ne devant être négligé. Facile à dire, difficilement réalisable, mais pas impossible à mes yeux, au vu notamment des nouvelles technologies, qui ne servent aujourd’hui qu’à faire passer le temps, mais qui seraient exploitables pour véhiculer des idées, créer une organisation, rassembler, en clair : se bouger pour le changement. Demeure toujours un obstacle, les mutations génétiques liées à l’évolution n’entraînent pas que des modifications morphologiques, et le vis développé par ces dernières dans la tête de nos « héros » nationaux, ne facilitera jamais plus la tâche.<br /> Je ne prétendrais jamais détenir cette vérité que nous cherchons tous, en vain. Je ne suis seulement pas apte à oublier, ou à ne plus me poser de questions sur le sujet. La société économique est plus forte que jamais, ses crises, elle ne les subit pas, elle nous les inflige. Son terrifiant travail de régulation démographique par la misère a lui aussi commencé depuis bien des lunes, mais après tout, pourquoi bouger le petit doigt, puisqu’il est si facile de faire comme moi, de rédiger la révolte sur un outil technologique, que cette société m’a offert, bien au chaud, tout près du radiateur, fumant les cheveux exploités de ma mère, et me délectant d’un fond de scotch plus commercial qu’équitable ?<br /> Je n’ai jamais renoncé à me battre, seulement, mes armes font rire à côté de celles que la division fabrique. Alors, perdu dans un Monde que je ne comprend pas, marchant la tête basse, dans le sens inverse de la spirale de profitabilité démoniaque qui m’entoure, et dont je fais malgré moi parti, bousculé par des êtres qui ne se rendent même pas compte que j’existe, je taille ma route.<br /> T.Dupuy
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